Le Cap — Départ pour Sainte-Hélène
J’ai quitté la Namibie et ses déserts pourpres et dorés balayés par les vents, les fauves invisibles qui ne dansaient, s’élançaient et rugissaient que dans mon imagination, la longue côte où otaries et vagues s’étreignaient et roulaient en une commune et plaisante complicité… J’ai quitté la Namibie pour la pointe extrême de l’Afrique.
Là, j’ai découvert une ville au bout du monde, enchâssée dans d’étranges montagnes, dont Table Moutain, laquelle s’élève à plus de 1000 m d’altitude et se coiffe d’un sommet complètement plat. Quand une nappe nuageuse se pose sur ce sommet, il ne manque plus qu’à dresser le couvert ! mais j’en parlerai au retour de Sainte-Hélène…
C’est depuis cette ville du Cap que je dois quitter l’Afrique. En effet, pour atteindre cette île, ancrée au beau milieu de l’Atlantique Sud, à près de 2000 km des côtes africaines, il n’est qu’un seul moyen de transport : le bateau. Et pas n’importe quel bateau : le RMS St Helena, le dernier bateau postal britannique encore en service dans le monde ! Il va, donc, falloir que je vous en parle dans le prochain chapitre…
Brigitte
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